Quelques p’Arts...

Quelques p’Arts conduit un projet artistique et culturel de territoire(s) avec une quarantaine de communes sur un secteur de 2 127 km2 en Ardèche, Loire et Drôme. Par ses réseaux avec les acteurs départementaux, régionaux, nationaux et européens, le travail du Centre National des Arts de la Rue et de l’Espace Public s’étend bien au-delà de son territoire. Son activité de création, de médiation et de diffusion des arts de la rue et du spectacle vivant dans les espaces publics et de proximité se déploie tout au long de l’année.

Depuis l’origine du projet, le CNAREP élabore ses actions en co-construction avec les collectivités, les acteurs locaux et leurs différents réseaux (éducatifs, associatifs, sociaux, hospitaliers, agriculteurs et acteurs économiques...). Quelques p’Arts... nourrit l’idée de vivre et de partager « un environnement culturel » dans lequel les personnes peuvent s’impliquer.

Le Festival de la Manche en 1988, puis les Préambulesen 1991, ont été les prémices de résidences de diffusion. Elles permettaient d’aboutir les créations et de développer des projets EAC en lien avec la DRAC Rhône Alpes.
Cette étape du projet a permis de développer un réseau de multiples partenaires et de signer un protocole d’accord avec l’ensemble des communes et des communautés de communes, État, Région et Départements.

Le SOAR (Secteur Ouvert des Arts de la Rue) est l’association créée en décembre 2002, dans le cadre de la concertation menée avec ses partenaires — État, Région et Département.

En 2003, une première édition de la Saison de Quelques p’Arts… est lancée. En 2013, la structure est labellisée.
Depuis plusieurs années, la Saison est ponctuée de Temps Forts.
Les résidences, les essais et les créations se réalisent dans son lieu de résidence et en territoire(s).
Dans une démarche d’éducation populaire. L’individu est au centre du projet du CNAREP. Dans cette lignée, Quelques p’Arts... œuvre pour le respect des droits culturels.

Ainsi, depuis son origine, le projet artistique et culturel de territoire(s) s’appuie sur des principes de coopération, avec et entre les collectivités locales principalement rurales, et de permanence culturelle participative. Au plus près des personnes, de l’enfance à la « vieillissance » avec des partenaires foisonnants, il cultive une permaculture, terreau de dynamiques sociales, humaines et écologiques.